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Bilbo le Hobbit streaming avec sous-titres 4K

Le Hobbit. un voyage inattendu

Synopsis et détails

Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie. Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…

The Hobbit: An Unexpected Journey

Distributeur Warner Bros. France

RĂ©compenses 6 nominations

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Secrets de tournage

Un livre pour enfants

Le Hobbit est le premier roman publié par J.R.R. Tolkien, linguiste et professeur à l'université d'Oxford. Tirée de l'univers que l'auteur britannique imaginait depuis plus de vingt ans, cette œuvre se destinait tout d'abord à ses propres enfants. Il mit ensuite plus d'une douzaine d'années à achever Le Seigneur des anneaux, consacré à un public plus âgé, compte tenu de sa complexité.

Et de 10. Ou de 14 ?

Si l'on considère que la trilogie du Seigneur des Anneaux et la trilogie du Hobbit sont deux films, ce dernier est donc le dixième long métrage réalisé par Peter Jackson. Mais si l'on prend chaque épisode séparément, les trois volets constituent ses douzième, treizième et quatorzième passages derrière la caméra.

On reeefait Tolkien !

A l'instar du Seigneur des anneaux, Bilbo le Hobbit avait déjà été adapté en film d'animation en 1977. Orson Bean y doublait le héros, tandis que la voix de Gandalf était assurée par le réalisateur John Huston.

28 Secrets de tournage

Dernières news

J'adore sérieusement ce film car il est lié aux Seigneurs des Anneaux et les questions posées quand on voit SdA est expliqué (je parle notamment de la carte qu'n voit au début de SdA où l'on voit la montagne solitaire). Sinon excellent film et encore bravo à Peter Jackson

Près de 10 ans après la sortie du Retour du Roi, Peter Jackson
propose une nouvelle trilogie se déroulant en terre du milieu, cette
fois basée sur les aventures de Bilbon Sacquet.

Inutile de rappeler ce que représente la trilogie du Seigneur des
Anneaux. A l'image de la Communauté de l'Anneau, un Voyage Inattendu
s'ouvre par un résumé des événements justifiant cette nouvelle
trilogie.

Avant le retour de Sauron, il y'eu l'arrivée de Smaug à Erebor,
montagne de résidence des habitants les plus riches de la terre du
milieu, les nains. Le dragon Smaug allait ravager la cité voisine
d'Erebor, Dale, ou prospérait les hommes. Ceci fait, ce fut au tour
des nains d'etre victimes de la désolation de Smaug. Ce dernier les
massacra, s'empara de leur cité batie au cœur d'Erebor et qui
abritait le plus grand trésor jamais vu. Mais pire que l'exode qui
frappera alors les nains, ce fut la perte de l'Arkenstone.

A l'image de l'autre artefact de la trilogie originale, l'Anneau,
l'Arkenstone est l'objet qui conduira les héros de cette nouvelle
aventure Ă  braver tous les dangers. L'Arkenstone est une pierre sans
équivalent et qui légitimait le pouvoir de la royauté naine,
établie à Erebor avant l'arrivée de Smaug, sur le peuple nain.

Ce fut donc une journée noire pour Thorin, fils de Thrain, lui
meme fils de Thror, le dernier roi sous la montagne. Les nains
d'Erebor entrèrent en errance jusqu'à ce qu'ils purent se
reinstaller dans les montagnes bleues. Mais personne parmi eux
n'oublia ce jour funeste, et tous revaient de se venger de l'ignomie
de Smaug et de reprendre ce qui leur revenait de droit.

Des la première minute, on est immergé dans le film. La séquence
est superbe, le peuple nain absent de la trilogie originale est ici
volontairement mis en avant. On a le droit à de superbes séquences
montrant leur cité, immense et sublime à la fois. Ils sont
présentés comme étant un peuple travailleurs, doués à trouver et
travailler les minerais, riches et très fiers.

Smaug n'est pas révélé, et c'est suelement une ombre fugace que
nous laisse entrevoir le film. Le contexte de cette nouvelle trilogie
est lancée, nous sommes prets pour plus de 9 heures de film.

L'introduction qui suit durera près d'une heure. Le personnage de
Bilbon, joué par le talentueux Morgan Freeman, est un Hobbit comme
on se les imagine. Bourgeois, fermé, terre à terre et peu ouvert à
l'inattendu. C'est une réussite, à l'image de l'ensemble du casting
concernant les nains.

6 nains se démarquent particulièrement: Thorin le leader de la
compagnie, Balin le plus agé, Dawlin le guerrier, Fili et Kili les
plus jeunes. Le reste des 7 nains, sont plus en retrait mais sont
tous diffèrents tant visuellement qu'au niveau du caractère ou de
leur parler.

Gandalf est de retour, restant le personnage le plus intéressant
Ă  suivre, parfois drole et parfois grave mais toujours juste.

Cette première partie du long-métrage se déroule à la Comté,
et plus spécialement à Cul-de-Sac, la maison de Bilbon. Peter
Jackson prend son temps pour planter le décor, filmer sa Comté qui
n'a pas son pareil avec ses maisons construites sous les collines
vertes.

La présentation des personnages terminée, la compagnie se met en
route. C'est alors qu'un second arc narratif est mis en place avec le
personnage de Radagast le brun, un ami magicien de Gandalf. Cet arc
narratif met en place la montée de la menace de Sauron, le méchant
principal du Seigneur des Anneaux. Mais au début de la trilogie du
Hobbit, Sauron est censé avoir disparu et il se fait passer pour un
NĂ©cromancien.

Le personnage de Radagast m'a rappelé le personnage de Tom
Bombabillion dans le roman de la Communauté de l'Anneau. C'était un
personnage proche de la nature, drole et enjoué tout en étant doté
de puissants pouvoirs. Radagast et lui aussi drole et proche de la
nature et des animaux. Son aspect est déconcertant au premier abord,
mais n'est pas dérangeant comme l'avait été Jar Jar Bins dans la
Menace Fantome. Au contraire, il est pour moi une des plus belles
réussites de cette nouvelle trilogie. Et cela n'était pas gagné
avec un personnage qui abrite des oiseaux (et leurs crottes) dans son
chapeau. Son traineau tiré par des lapins géants m'a deconcerté au
premier abord, mais j'aime beaucoup après coup. Une scène de course
poursuite au rythme effrené voit Radagast et son traineau etre
poursuivit par des Wargs, scène très réussie et originale.

En parallalèle de l'introduction de l'arc narratif impliquant
Sauron et présentant Radagast, la compagnie de Thorin sera alors
confrontée à une bande de trolls qui tenteront de les cuisiner.

Les trolls sont en numériques, mais ce qui tranche avec la
trilogie originale, c'est qu'ils ne sont pas présentés comme des
etres terrifiants à l'image du type de troll aperçu dans les mines
de la Moria dans la Compagnie de l'Anneau et repris dans le Retour du
Roi. Au contraire, ils sont complètement dégénérés tant
physiquements que mentalements, ce qui les rend plutot droles.
L'orientation visuelle est diffèrente, et c'est ce type de design
concernant les créatures numériques qui prédominera pendant tout
le reste du film.

La séquence servira à montrer la première scène d'action du
film avec les personnages principaux, la compagnie. Chaque nain se
bat de toutes ses forces, Ă  l'aide de haches, marteaux ou
lance-pierre. Peter Jackson présente une scène d'action limpide, ou
numérique et prise de vue réelle se croisent sans que cela ne
dérange l'oeil. C'est très réussie et cette scène à priori assez
simple est en fait d'une complexité folle de par le nombre de
protagonistes à suivre. Premier test réussi qui montre que le
réalisateur n'a pas perdu la main, qu'il a meme su évoluer dans son
travail de mise en scène, ce qui lui permet d'utiliser les effets
visuels pour monter des scènes d'actions incroyables et diffèrentes
les unes des autres.

L'arc narratif de Ragadagst croisera celui de la compagnie une
fois les trolls défaits. S'ensuivra la fameuse course poursuite
impliquant Radagast et qui conduira les personnages Ă  Rivendell,
cité elfique du roi Elrond.

La palette de couleurs, la photographie, les paysages, les décors
et le travail numérique qui servent à donner vie à cette cité
sont incroyables. C'est un sans faute, on se croirait dans une
illustration graphique issu de l'imaginaire d'un romancier de
fantasy. Le design artistique de cette cité est pour moi
représentatif du film en général, c'est un travail monstrueux qui
a été effectué pour offrir une vision nouvelle de la Terre du
Milieu, grace Ă  l'Ă©volution des technologies qui permet des
incrustations indétectables.

Beaucoup de plans font penser Ă  des tableaux tant ils sont
travaillés à la perfection.

L'arc narratif concernant Sauron sera alors developpé, avec la
réunion du Conseil Blanc. Ce conseil réunit Gandalf, Saroumane le
Blanc, Dame Galadriel et Elrond, les etres les plus puissants de la
Terre du Milieu. Le doute persiste quand à la menace que représente
le NĂ©cromancien, mais doucement mais surement le retour de Sauron
personnage semble etre envisagé.

La compagnie reprend la route, pendant le déroulement du Conseil
Blanc. Une séquence impliquant des géants de pierre se battant à
coups de rocs et manquant presque d'écraser la moitié de la
compagnie, assure le quota action du film. La séquence n'est pas
nécessaire, une simple avalanche à l'image de la séquence au Mont
de Caradras dans la Communauté de l'Anneau aurait suffit. Mais je ne
peux pas bouder mon plaisir devant la virtuosité de la réalisation,
qui n'a aucun problème pour gérer les diffèrences d'échelle entre
les géants et les nains. Au final, la séquence est belle et
inattendue.

La plus belle séquence du film, la plus réussie et la plus fun
viendra alors que notre compagnie est capturée par les gobelins de
Gobelin's Town.

Le découpage est très réussi puisqu'au cours de cette péripétie
dans la cité des Gobelins, Bilbon et les nains sont séparés,
permettant au Hobbit de se confronter Ă  l'un des personnages les
plus emblématiques de la trilogie originale, Gollum. Au meme moment,
les nains sont amenés devant le roi des Gobelins, une créature
dégénrée, obèse et malade. Son design est superbe, et malgré son
aspect repoussant le personnage fait montre d'intelligence et de
malice. Mention aussi dans le design des gobelins, tous aussi
difformes les uns que les autres et qui sont très diffèrents des
orcs aperçus plus tot dans le film.

Les deux péripéties se déroulent en meme temps, à des endroits
diamétralement opposés. La séquence de Bilbon se déroule dans une
caverne sombre, froide avec une photographie bleutée du plus bel
effet. L'autre scène avec les nains se déroule dans un endroit plus
éclairé, aux teintes ocres et marrons très réussies. J'aime
beaucoup ce passage du film.

Gollum est une réussite bien entendu, inutile de revenir sur ce
point. Tant visuellement qu'au niveau de sa personnalité, il reste
un personnage emblématique de la Terre du Milieu. La découverte de
l'Anneau par Bilbon est très bien amené, et les échanges avec
Gollum savoureux.

Les nains finissent par etre rejoints par Gandalf, qui déclenchera
alors LA scène d'action du film, la plus réussie et la plus
jouissive Ă  mon sens.

Elle m'a beaucoup fait penser à la scène se déroulant au Maroc
dans Tintin – Le Secret de la Licorne. Une scène se déroulant sur
de très grandes distances, que les personnages parcourent à toute
vitesse par divers moyens, à chaque fois diffèrents. La musique
Ă©pique accompagne les compagnons de Thorin alors qu'ils trucident
des dizaines de gobelins sans temps mort. Les ponts batis sur des
trous sans fond s'effondrent Ă  tout va, permettant aux personnages
d'avancer toujours plus vite vers la sortie. Mais jamais je n'ai eu
l'impression d'etre perdu, ou d'avoir mal Ă  la tete Ă  cause d'un
montage trop haché. L'action est limpide et est un exemple de mise
en scène. La volonté de créer les gobelins en images numériques
est totalement justifiée ici.

La séquence de Gobelinville se termine par la réunion de toute
la compagnie en dehors des cavernes, après que Bilbon ait décidé
d'Ă©pargner Gollum.

Mais il n'y a pas de temps mort, puisque ce sont cette fois les
orcs chevauchant des wrags qui vont mettre à mal nos héros.

C'est l'occasion pour nous spectateurs d'en voir plus sur ce
fameux orcs qui a tué Thror, le grand-père de Thorin pendant la
bataille de la Moria. Un flash-back au début du film avait montré
un affrontement entre les nains et les orcs Ă  la Moria ou Azog avait
été défait par Thorin, aidé d'une branche de chene utilisé comme
un écu. Je voulais en voir plus, et je n'ai pas été deçu. J'ai
beaucoup aimé le design tout en numérique d'Azog, un orc tout blanc
et scarifié au niveau du visage et du torse. On sent qu'il est
diffèrent des autres orcs, plus puissant et plus intelligent. Pour
ma part, j'avais été déçu de ne pas voir un orc charismatique
dans la trilogie originale. C'est chose faite ici, et c'est réussi.
J'ajoute que j'aime beaucoup son wrag, qui est assortie Ă  sa couleur
de peau.

La séquence est belle, permet à Thorin de montrer son courage et
à Bilbon de prouver qu'il est un membre à part entière de la
compagnie.

La séquence se termine avec l'arrivée des aigles, qui sauvent
nos héros au tout dernier moment. Je n'ai pas de problème avec la
manière dont Peter Jackson utilise les aigles, j'accepte les limites
du procédé et je ne reviendrai pas sur les polémiques. Leur
arrivée permet au réalisateur d'offrir de superbes plans larges,
tout simplement sublimes et portés par une très belle musique.

Le plan final voit la compagnie dans sa totalité plus soudée que
jamais, avec un Bilbon enfin accepté par Thorin.

Le générique de fin se lance, après près de 3 heures de film,
sans que je me soit ennuyé. J'ai apprécié le spectacle, ait
assisté à un spectacle inattendu, chose rare aujourd'hui avec un
blockbuster. La volonté de créer une Terre du Milieu ou le
(presque) tout numérique règne ne m'a pas dérangé. Je vis avec
mon temps, et il est aujourd'hui d'usage de priviligié le numérique
au détriment des trucages classiques. J'ajoute que les rares fois ou
le film utilise des trucages classiques, cela se remarque
immédiatement et dénote avec le reste du film. Pour le reste, le
travail sur le design des créatures, des décors, les personnages
est phénoménale et il est difficile de faire la fine bouche.

Le film est équilibré et ne s'éparpille pas trop, avec 2 arcs
narratifs à suivre. L'arc concernant la révélation de la menace de
Sauron est bien amené.

Les trouvailles visuelles de Peter Jackson, qui soigne sa
réalisation à chaque plan, propose des scènes d'actions
diffèrentes et des plans sublimes m'a bluffé. Certes, le film en
lui meme n'égale pas la qualité des premiers films, mais il reste
un excellent divertissement bien au dessu des productions actuelles.

Quand je vois le désastre du troisième film (on se croirait dans un jeu vidéo), je me dis que cela aurait été beaucoup mieux comme dans le livre finalement.

Bub. Allo, tante Alice.

"Les aventures de Bilbon le Hobbit" sortit en France dans les années 1950, peu de temps avant "Le Seigneur des Anneaux". est aussi une œuvre majeure dans l'histoire de la littérature. Bien sûr, l'ouvrage est rédigé par JRR Tolkien, sur le ton d'un conte pour enfant auquel le réalisateur Peter Jackson, a rendu hommage dans une scène de son adaptation du "SDA". On y voit Bilbon âgé, raconter à des enfants Hobbits ses aventures dans les ruines du royaume d'Erebor. Par conséquent, en adaptant le "Hobbit", afin de respecter la magie narrative de l'écrivain, il fallait respecter une ambiance féérique. Peter Jackson y est parvenu en étalonnant avec soin les couleurs de sa nouvelle trilogie afin qu'elles soient moins oppressantes et dramatiques que celles du "SDA". Cette première partie de l'adaptation tout en étant fidèle au texte d'origine, ajoute de nombreux combats et des poursuites effrénées spectaculaires et passionnantes. Le résultat est un film d'aventure riche, sans temps mort et particulièrement réussi. Il est aussi très loin des sinistres valeurs individualistes et idéologiques malsaines, omniprésentes dans de nombreux Blockbusters récents.

Je trouve que la scène où Bilbo épargne Gollum est particulièrement émouvante, et celle où il explique aux nains pourqjoi il est revenu aussi :)

J'ai globalement bien aimé. Par contre le côté cartoonesque desfois par exemple la scène avec les nains dans les tonneaux et Légolas qui fait des cabrioles qui ne sont pas très crédibles. ça vous a pas géné ?

voila a quoi ressemble a vrai bon blockbuster oublier star wars ou star trek il y a le seigneur des anneaux

C'est mon avis personnel, pour moi mĂŞme si Ă  la base c'est un compte pour enfants je trouve que les couleurs sont biens trop flash mais comme je l'ai dis, c'est mon avis

A la base, il s'agit d'un compte pour enfants, la menace de Sauron n'en n'est pas encore au même niveau que dans LOTR, donc les couleurs plus flash est au contraire bien plus appropriées

Peter Jackson nous surprend avec le Hobbit, malgré les années qui ce sont écoulées entre le Seigneur des Anneaux et le Hobbit il a quand même réussi à sortir un bon film, plutôt bien rythmé avec forcément un scénario qui a de la gueule. Mais on a pu observer des différences avec le Seigneur des Anneaux par rapport aux couleurs, dans LOTR Peter Jackson avait tourné les 3 films avec des couleurs très ternes ce qui allait très bien avec l'histoire de Tolkien mais dans le Hobbit il a complètement changé, et il est partit sur des couleurs bien plus flash ce qui ne va pas forcément bien avec l'histoire de base. Mais quoi qu'on puisse en dire ce film est réussi. 4/5

La Communauté de l'Anneau.